Les yeux doc : top 5 des films de la rentrée
Qu’ont regardé les internautes sur la plateforme en ligne du Catalogue national de films documentaires Les yeux doc ce mois de septembre ?
Des courts, des longs, des films classiques et d’actualité, sortis en salles ou à la télévision, les cinq documentaires les plus consultés de la rentrée étaient de factures variées. Vous aussi, écoutez les revendications de femmes filmées par Agnès Varda, exercez-vous vocalement avec la chanteuse d’opéra Barbara Hannigan, prenez le thé avec Malika, la tenancière d’un café en plein désert, explorez la pensée du philosophe Roland Gori ou méditez devant les gestes sûrs d’apprentis sculpteurs à Carrare, en Italie.
Comment accéder à la ressource Les yeux doc à la Bpi ?
Vous souhaitez avoir des nouvelles du monde et visionner des centaines de documentaires sur l’actualité, les sciences humaines et les arts ?
Depuis la Bpi : la plateforme Les yeux doc est accessible sur les ordinateurs du 3e étage en face du bureau Arts.
Réponse de femmes (Agnès Varda, 1975, 8 min)
1975, année de la Femme. La télévision publique commande à 7 réalisatrices 7 films de 7 minutes pour l’émission “F comme Femme” sur Antenne 2 (aujourd’hui France 2). Agnès Varda se prête au jeu avec un ciné-tract de 8 minutes dans lequel des femmes d’âges et d’origines divers répondent à la question “Qu’est-ce qu’une femme ?”
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C’est presque au bout du monde (Mathieu Amalric, 2015, 16 min)
Pour la 3e Scène de l’Opéra national de Paris, Mathieu Amalric filme la soprano Barbara Hannigan au cours de ses exercices de respiration et de recherche du son idéal. Une performance rare et intime au plus près du mystère de la voix humaine.
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Roland Gori. Une époque sans esprit (Xavier Gayan, 2020, 70 min)
Aujourd’hui, nous vivons dans un monde sans esprit où la marchandise et le spectacle ont envahi nos existences, où au nom de la rentabilité, la quantité a remplacé la qualité dans tous les domaines. Ce film propose un portrait intime de Roland Gori, psychanalyste, universitaire et essayiste, connu pour ses combats contre la marchandisation de l’existence et la dépréciation des métiers.
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143 rue du désert (Hassen Ferhani, 2019, 103 min)
En plein désert algérien, dans sa buvette, une femme écrit son histoire. Elle accueille, pour une cigarette, un café ou des œufs, des routiers, des êtres en errances et des rêves… Elle s’appelle Malika.
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Mille fois recommencer (Daniela De Felice, 2020, 76 min)
En contrebas des célèbres carrières de marbre blanc, l’Académie des Beaux-Arts de Carrare accueille des étudiants venus du monde entier. On y enseigne la sculpture, à l’aide de techniques traditionnelles héritées de la Renaissance et de technologies de pointe.
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Publié le 05/10/2022 - CC BY-SA 4.0
